Surfacturation lampadaires : Des véreux veulent la peau de l’intègre Nicolas Kazadi

L’affaire des lampadaires n’est qu’un prétexte fallacieux des véreux pour laminer la réputation du ministre des finances Nicolas Kazadi, personnalité respectée à la gestion des affaires publiques irréprochable.

Orchestrer des intrigues dans la gestion de la chose publique, ce n’est pas le genre de la maison. Du prestige et de la responsabilité engagent la vision salutaire d’un homme qui, depuis sa nomination au ministère des finances, a su faire mouche. Face aux crapules qui veulent sa peau et qui tiennent mordicus à le fourrer dans un scandale financier, Nicolas Kazadi demeure imperturbable, autant dire que l’homme brille par son intégrité et sa rigueur entant que ministre des finances qui chante l’intérêt national à tue-tête et qui balaie d’un revers de la main toute complicité perfide.

Lors d’un briefing presse le mercredi 24 avril autour de la mission de Kinshasa à l’Assemblée générale de printemps des institutions de Bretton Woods, Nicolas Kazadi a fait toute la lumière sur la question des lampadaires notamment balayant toutes les accusations de surfacturation. Contrairement aux positions de certains médias qui en remettent une couche dans cette affaire, le très respecté Nicolas Kazadi n’a jamais été de mèche avec Gentiny Ngobila dans le but de commettre « un forfait financier » et il n’y a jamais eu de surfacturation.

« Je me pose la question : qu’ai-je fait de mal ? Qui a surfacturé ? D’abord, est-ce qu’il y a eu surfacturation ? Je ne sais pas. Moi ce que je sais, j’ai fait remarquer que 400 000 en moyenne c’était trop, et ils ont obtenu de réduire un peu moins de 300 000. Donc, si il y a des gens qui ont surfacturé, c’est certainement pas moi. Moi j’ai obtenu au contraire qu’on baisse. Est-ce qu’on a payé de l’argent sans livrer ? Non, moi j’ai été ferme, j’ai dit : le contrat prévoyait un premier paiement de 80 millions, j’ai payé 71 millions, je vous laisse d’abord terminer pour 71 millions, vous n’avez pas terminé, je ne bouge pas. J’ai toutes les lettres dans lesquelles il réclame, il demande, j’ai dit niet, je ne bouge pas », a dit Nicolas Kazadi.

Il est très regrettable de voir Gentiny Ngobila, une personnalité de son rang, vouloir jouer au margoulin. Le gouverneur de la ville de Kinshasa n’est pas exempt de tout reproche dans cette affaire qui jette encore un peu plus un discrédit sur sa réputation d’autant plus catastrophique.

À l’image d’un homme qui n’a peur de rien, Nicolas Kazadi a le cœur tranquille et ne s’agite face aux critiques de certains dans l’opinion publique. La vérité finira par éclater au grand jour.

CKM

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