Son intervention était très attendue pour ramener le calme au sein de l’Union sacrée pour la nation (USN). Car, les membres du Présidium de la plateforme ont donné l’impression, après leur façon de diriger la structure, de se comporter en dirigeants qui n’avaient des comptes à rendre à personne.
Du coup, tout le monde commençait à s’étonner sur le silence de Félix-Antoine Tshisekedi, l’autorité morale de la plateforme. Ce vendredi 17 mai, à la Cité de l’Union Africaine, Félix-Antoine Tshisekedi a mis fin à la « folie » des membres du Présidium en prenant quelques décisions, notamment le report de l’élection et de l’installation des membres du bureau définitif de l’Assemblée nationale.
De sa rencontre avec les députés nationaux, Félix-Antoine Tshisekedi a exigé qu’un ressortissant de l’ex-Province Orientale figure au sein du bureau définitif de la chambre basse du Parlement. Quel poste occupera le représentant de l’ex-province Orientale ? Personne ne sait jusque-là.
La tête de Mboso visée
Selon des sources, le perdant de cette remise en cause de la volonté des membres du Présidium de l’USN qui se sont partagés les postes au sein du bureau pourrait s’appeler Christophe Mboso. Ce dernier se bat becs et ongles pour occuper le poste du 2ème vice-président au sein du bureau définitif.
C’est la volonté de Christophe Mboso de s’accrocher au pouvoir qui a soulevé des vagues au sein de l’Union sacrée. Lui, estime occuper coûte que coûte, ce poste, semble-t-il, pour préparer sa retraite. Et cela, après avoir dirigé l’Assemblée nationale pendant trois ans.
CN
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