RDC – Contentieux des candidatures : Le Professeur Michel Bongongo rend hommage au « démocrate Félix Tshisekedi qui n’interfère pas aux décisions judiciaires »

Un nouveau vent de la démocratie a soufflé en République Démocratique du Congo. L’hécatombe souhaitée par le clivant vient d’être renvoyée aux calendes grecques après que le jugement de la Cour constitutionnelle relatif aux requêtes en invalidation de certaines candidatures ait mis tout le monde d’accord.

De quoi réjouir le regroupement politique Alliance des Acteurs Attachés au Peuple (AAAP). Son 4è vice-président en charge de la communication félicite le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, artisan de l’état de droit et de la justice pour tous.

Le 4 ème Vice Président de AAAP salue l’esprit “démocratique” qu’incarne le Chef de l’Etat depuis son arrivé à la magistrature suprême en janvier 2019. Il croit dur comme fer que Félix Tshisekedi n’interfère pas aux décisions judiciaires, contrairement à ses prédécesseurs. L’arrêt rendu ce jour par la Haute Cour en est la preuve irréfutable.

Par ailleurs, le regroupement AAAP encourage Félix Tshisekedi de rester droit dans ses bottes dans le respect de la séparation des pouvoirs consacrée par les lois de la République depuis la nuit de temps.

Avec l’arrêt rendu par la Cour constitutionnelle, un grand pas vient d’être franchi dans l’organisation du 4è cycle électoral qui paraît pour certains comme un leurre. Le Professeur Michel Bongongo, ancien ministre de la fonction publique estime que la décision de la Haute Cour a coupé court aux veilleités expansionnistes, mûries dans les offices politiques des ennemis de la paix.

Dans la journée de ce lundi 30 octobre, la Cour constitutionnelle a rendu ses arrêts suite aux requêtes introduites, sollicitant l’invalidation de la candidature de Moïse Katumbi et Félix Tshisekedi. Ces requêtes ont été jugées recevable mais non fondées. Au sujet de la controverse autour de la nationalité de Moïse Katumbi, la Haute Cour vient de fermer définitivement cet épisode à polémique depuis belle lurette.

Ainsi, la course au palais de la nation est donc lancée pour 24 opposants qui feront face à Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo candidat à sa propre succession pour un second mandat. Toutefois, le président sortant draine derrière, une machine électorale, appelée Alliance des Acteurs Attachés au Peuple (AAAP).

CN